
Selon le gouvernement Couillard les finances publiques sont dans un piteux état. L’ennemi public numéro un du Québec est le mur budgétaire de 3,7 milliards vers lequel le Québec se dirige inexorablement si aucun correctif sévère n’est apporté. À court terme, 2.4 milliards doivent être trouvés. Voilà pour la mise en scène, mais qu’en est-il pour la suite des choses?
Ce n’est pas la première tentative, mais il semble que ce sera la bonne. D’ici 2017, le nombre de régions administratives pourrait passer de 22 à 11 en France. De plus, d’ici 2021 les départements français seraient chose du passé dans le cadre d’un important projet de réforme du territoire, selon un article de
Vendredi passé c’était au tour du PLQ de lancer sa stratégie pour le développement du Saint-Laurent. Aucun doute, le Saint-Laurent et développement économique seront devenus des synonymes, du moins pour la durée de la campagne électorale. C’est à l’industrie touristique de s’assurer qu’à la fermeture des bureaux de scrutins le 7 avril que ce sera toujours le cas.
Selon une étude de 2013 sur les impacts du tourisme lesbien, gai, bisexuel et transgenre (LGBT) au Québec, le marché américain des LGBT représenterait 233 millions$ en retombées. Tandis que les touristes LGBT Canadiens (hors Québec) rapporteraient 154 millions$, les Québécois 30 millions$ et les LBGT étrangers 80 millions$, pour un total estimé de 497 millions$ annuellement. L’étude souligne que les communautés LGBT du Québec et des États-Unis, possèdent un budget voyage annuel de 40% à 60% supérieur à la population hétérosexuelle, d’où l’attrait des LGBT pour l’industrie touristique québécoise.
Un texte inédit du rapport Rozon proposait pour réflexion, un nouveau modèle de management qui reposerait sur la création d’une société d’État en tourisme, afin de répondre à une des conclusions du rapport : « Il y a clairement une insatisfaction fondée vis-à-vis du mode de management (gouvernance) actuel de notre industrie touristique. Les membres du comité estiment que celui-ci est à revoir et qu’un examen sérieux doit être réalisé à court terme ». *Rapport du Comité de performance de l’industrie touristique (CPIT) (mai 2011).